Un décès reste toujours un évènement amer pour l’entourage du défunt. Certes, c’est une occasion de se réunir pour le cercle proche du disparu. Mais les funérailles coûtent de l’argent. On parle d’organisation et de logistiques. Certaines personnes découvrent l’avantage d’une assurance décès. En effectuant des recherches, on envisage la possibilité de se souscrire chez un assureur.
La nature d’une assurance décès
Par définition, une assurance décès consiste à épargner un capital pour l’ensevelissement d’une personne. Le souscripteur (le futur défunt) désignera ensuite un bénéficiaire, qui héritera du capital pour faire face aux dépenses. Plus d’informations sur cette page.
On distingue les types d’assurances décès habituelles :
- L’assurance temporaire décès : ce type de contrat possède une limite dans le temps. Cela peut être une date sur le calendrier, une date d’anniversaire. Une fois ce délai imparti, la somme versée reviendra aux bénéficiaires. Le contractant n’obtiendra aucune part de cette épargne : on nomme cela une cotisation à fonds perdu.
- L’assurance décès vit entière : à l’inverse du précédent, celle-ci reste effective jusqu’au décès du signataire. Le capital reviendra aux légataires, similaire à l’autre assurance.
- L’assurance décès-invalidité : ce dernier demeure le seul qui permet au contractant de reprendre la somme qu’il a versée. La condition pour l’obtention exige que le client perde sa capacité à être autonome, de manière irréversible.
Dépendant du montant versé et du type de contrat, on peut tirer d’autres avantages d’une assurance décès.
Les utilités d’une assurance décès
La première utilité réside évidemment dans sa nature : offrir les moyens à la famille ou aux proches de couvrir les dépenses liées aux funérailles du client. On offre une sécurité économique à sa famille. Mais les avantages peuvent s’étendre. L’assurance décès en général, peut avoir différentes applications dans la vie de l’héritier ou du contractant. On parle tout de même d’une somme d’argent considérable.
A priori, tout dépendra du capital investi. Le document de l’assurance peut être utilisé comme gage supplémentaire dans un prêt immobilier. En effet, on peut désigner la banque comme bénéficiaire. Il s’agit toutefois d’une entreprise qui nécessite réflexion. Même si l’on demeure exempté de toute obligation de souscription à cette assurance, les banques n’accordent pas de prêts sans elle.
À part l’utilisation dans un crédit bancaire, on peut placer le capital perçu dans des fonds de placement et le faire fructifier. De là, d’innombrables possibilités s’ouvrent aux héritiers : voyager à travers le monde, construire une maison, vivre sans travailler, payer ses études sous forme de rentes. Du moment que les chiffres le permettent, vous pouvez tout faire.
L’assurance décès se révèle presque nécessaire. Au vu des avantages liés à une adhésion, cela devient une constatation.
Les autres catégories d’assurances
D’autres types d’assurance liée à la disparition d’une personne existent aussi. On les confond souvent avec l’assurance décès, pourtant elles fonctionnent autrement :
- L’assurance vie est, à la différence de l’assurance décès vie entière, permet de multiplier le compte épargne sur du long terme. Et surtout, on possède le droit d’arrêter la souscription et d’encaisser notre argent à n’importe quel moment.
- L’assurance obsèques quant à elle, sert uniquement à payer les dépenses liées aux funérailles.
On constate des différences d’objectifs entre l’assurance vie et l’assurance décès. L’autre a pour but de faire fructifier son placement, l’un sert à laisser un support financier.
L’assurance décès, sous toutes ses formes, apparaît comme incontournable. Il est toujours sage de prévoir la situation de ses proches. Et le meilleur moyen reste de se souscrire à un contrat avec une compagnie d’assureurs. Le choix du type de souscription dépend de chacun, mais on conseille tout de même de commencer tôt. Car la vie peut nous quitter à tout moment. Comme ça, si on venait à disparaître, on aura été prévoyant.